Livre audio - RAY CHARLES - IN ANTIBES 1961
Titre du livre audio : RAY CHARLES - IN ANTIBES 1961
Dont 13 titres inédits, plus 14 BONUS TRACKS
Nombre de CD audio : 4
Distinctions : RECOMMANDÉ PAR FRANCE INTER / CHOC CLASSICA / CHOC JAZZ MAGAZINE / "LE PIED" SOUL BAG / HIT COULEURS JAZZ
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Description détaillée
Description du livre audio :
Réalisé par Joël Dufour, le plus grand spécialiste du « Genius », cet opus regroupe pour la première fois, en intégralité, le live de Ray Charles à Antibes/Juan-les-Pins de juillet 1961. Premier engagement de Ray Charles à l’étranger, ce concert culte allait être le premier d’une longue lignée et initier cette belle relation d’estime entre l’artiste et le public français. Joël Dufour a par ailleurs sélectionné une quantité mirobolante de titres bonus et inédits, où l’on retrouve notamment le pianiste en formidable accompagnateur, pour faire de ce coffret 4 CD une référence incontournable pour tout amateur de Brother Ray.
Patrick FRÉMEAUX
Produced by Joël Dufour, the greatest expert on the work of “The Genius” — aka Ray Charles — this set brings together for the first time the complete live concert that Ray performed in Antibes/Juan-les-Pins in July 1961. It was Ray Charles’ first booking outside the USA — a cult concert — and it was destined to be the first in a lengthy series that created the long-lasting respect reserved for the artist by audiences in France. When compiling this set, Joël Dufour chose to include a large number of bonus tracks and previously unreleased material — notably demonstrating that Ray, already a great keyboard player, was also a fantastic accompanist. This 4CD box a must-have item for every “Brother Ray” fan. Patrick FRÉMEAUX
HIS COMPLETE FOUR PERFORMANCES AT THE ANTIBES-JUAN-LES-PINS JAZZ FESTIVAL IN JULY 1961.
CD-1 : THE JULY 18, 1961, RAY CHARLES PERFORMANCE + BONUS TRACKS: SPOKEN INTRODUCTIONS BY ANDRÉ FRANCIS AND JOE ADAMS • DOODLIN’ • THE STORY • LIL’ DARLIN’ • ONE MINT JULEP • LET THE GOOD TIMES ROLL • GEORGIA ON MY MIND • MY BONNIE • (NIGHT TIME IS) THE RIGHT TIME • STICKS AND STONES • HALLELUJAH I LOVE HER SO • WHAT’D I SAY • BONUS TRACKS WITH RAY CHARLES ON PIANO : TOMMY RIDGLEY : OOH LAWDY MY BABY • TOMMY RIDGLEY: I’M GONNA CROSS THAT RIVER • GUITAR SLIM : THE THINGS THAT I USED TO DO • WELL I DONE GOT OVER • THE STORY OF MY LIFE • A LETTER TO MY GIRLFRIEND (AKA PRISON BLUES).
CD-2 : THE JULY 19, 1961, RAY CHARLES PERFORMANCE + BONUS TRACKS: SPOKEN INTRODUCTIONS BY ANDRÉ FRANCIS AND JOE ADAMS • THE STORY • IN A LITTLE SPANISH TOWN(*) • LIL’ DARLIN’ • POPO(*) • LET THE GOOD TIMES ROLL(*) • GEORGIA ON MY MIND(*) • STICKS AND STONES • MY BABY (I LOVE HER, YES I DO)(*) • YES INDEED • I BELIEVE TO MY SOUL • WHAT’D I SAY • RAY CHARLES BONUS TRACKS : IT SHOULD’VE BEEN ME • EARLY IN THE MORNIN’ • MY BONNIE(*).
CD-3 : THE JULY 21, 1961, RAY CHARLES PERFORMANCE + BONUS TRACK: SPOKEN INTRODUCTION BY JOE ADAMS • POPO • LIL’ DARLIN’ • LET THE GOOD TIMES ROLL(*) • RUBY • MY BONNIE • WITH YOU ON MY MIND • STICKS AND STONES(*) • I WONDER • WHAT’D I SAY(*) • BONUS TRACK WITH RAY CHARLES ON PIANO : JOE TURNER : WEE BABY BLUES.
CD-4 : THE JULY 22, 1961, RAY CHARLES PERFORMANCE + BONUS TRACKS : SPOKEN INTRODUCTIONS BY ANDRÉ FRANCIS AND JOE ADAMS • POPO(*) • LIL’ DARLIN’(*) • HORNFUL SOUL • LET THE GOOD TIMES ROLL • GEORGIA ON MY MIND • MY BONNI (*) • WITH YOU ON MY MIND(*) • TELL THE TRUTH • I WONDER • STICKS AND STONES • I BELIEVE TO MY SOUL • WHAT’D I SAY • BONUS TRACKS WITH RAY CHARLES ON PIANO OR ORGAN : LULA REED : TROUBLE IN IN MIND • AIN’T THAT LOVE • JUST KEEP IT UP • THERE HE GOES.
(*) PREVIOUSLY UNRELEASED.
Liste des articles de presse consacrés à ce CD : |
- « Une pierre majeure de plus à apporter à l’œuvre unique de Ray Charles » par Soulbag « Les admirateurs de Ray Charles sont gâtés : après les concerts parisiens d’octobre 1961 et mars 1962 et le festival de Newport de 1960, c’est au tour des prestations du Genius à Antibes de l’été 1961 – sa première visite européenne – d’être documentées, pour la première fois dans leur intégralité (13 titres inédits), dans un coffret de quatre CD. Chacune des quatre soirées se déroule de la même façon : des introductions parlées par André Francis puis Joe Adams, le bras droit de Ray Charles, puis quelques standards de jazz instrumental interprétés par l’orchestre avec Ray au piano, une série de titres chantés par Ray et enfin l’arrivée des Raelets. Mais le répertoire, autour de quelques incontournables dont l’indispensable What’d I say final, varie chaque soir, mêlant les tubes (Georgia on my mind, débarrassé de ses cordes et porté par la flûte de “Fathead” Newman, I believe to my soul…) et des morceaux moins communs, y compris With you on my mind, emprunté à Nat King Cole et jamais enregistré en studio. Pour ces prestations, Ray est au sommet de son pouvoir, tant vocalement qu’instrumentalement – les explorations pianistiques sur le Popo de Shorty Rogers – et bénéficie d’un orchestre parfait, avec des solistes comme David Newman, Hank Crawford ou la Raelet en chef Margie Hendrix. L’ensemble est mis en valeur par une très bonne prise de son, qui permet même d’entendre les commentaires hors micro de Ray à ses musiciens. L’incontestable Joël Dufour, au pilotage du coffret, ajoute aux concerts quelques bonus appréciables : prises alternatives absentes de l’intégrale Atlantic officielle et exemples du travail d’accompagnateur de Ray, derrière Guitar Slim, Lula Reed et quelques autres. En bref, une pierre majeure de plus à apporter à l’œuvre unique de Ray Charles… » Frédéric ADRIAN – SOULBAG |
- « Ce coffret est un exemple insurpassable de l’art vocal du grand Ray » par Classica Voilà quatorze ans que Ray Charles nous a quittés, mais il reste un des plus grands chanteurs qu’il nous ait été donné d’entendre. Sa première apparition en dehors des États-Unis fut en France, au Festival International de Jazz d’Antibes juan les Pins en 1961. L’ORTF avait alors diffusé, sous la direction de Jean-Christophe Averty, le premier concert, celui du 18 juillet, repris sur DVD en 2011 par Reelin’ In the Years. Mais voilà que ceux des 19, 21 et 22 juillet sont désormais ajoutés dans un coffret inespéré de 4 CD permettant de revivre ces soirées fabuleuses. Non seulement Ray Charles s’y montre à son sommet et ses plus grands succès sont présents (« What I Say, Georgia On My Mind, The Right Time, I Believe To My Soul”, etc.), mais son orchestre comprend David Newman, Hank Crawford, Philip Guilbeau et le batteur Bruno Carr, qui furent sans doute ses meilleurs accompagnateurs. En outre, le groupe féminin the Raelets se produit à ses côtés, avec en particulier la brûlante Marjorie Hendricks. Complété par des plages provenant de séances en studio antérieures assez rares, ce coffret est un exemple insurpassable de l’art vocal du grand Ray à l’époque où il stupéfia le monde, qui lui fit un triomphe pendant plus de quarante ans. Par Jean-Pierre JACKSON -CLASSICA |
- « Brûlant, troublant et indispensable » par Jazz News Des publications que Frémeaux & Associés ont déjà consacrées à Ray Charles (« Live at Newport 1960 » et « Live in Paris 1961-1962 »), cette copieuse gravure des quatre concerts à Antibes-Juan-les-Pins de juillet 1961 est probablement la plus intéressante. Premièrement parce qu’elle documente l’intégralité des premiers pas du Genius loin de ses bases. Et ceci alors qu’il ne se doute pas que la France entière danse sur « What i’d Say ». Ensuite parce que le public français le découvre en transition : quittant Atlantic, qui lui a offert une incroyable rampe de lancement, Ray Charles s’avance avec ABC-Paramount ver un nouveau public, plus « mainstream ». La forme adoptée ici reste celle, plus près de l’os, encouragée par les frères Ertegün : un piano, un orchestre à la Count Basie (dont le principal intéressé rêvait, et qui offre de splendides pupitres, avec les saxophonistes Hank Crawford et David « Fathead » Newman, à reconsidérer) ainsi que les fidèles Raelettes. C’est brûlant, troublant et indispensable pour qui veut comprendre le phénomène. À noter, la présence de magnifiques et rares bonus (avec Guitar Slim ou Lula Reed), qui auraient peut-être mérité une édition à part, Mais personne ne se plaindra de cette généreuse extra-balle. Par Bruno GUERMONPREZ – JAZZ NEWS |
- « Au festival d’Antibes-Juan-les-Pins en 1961, Ray Charles fut l’incontestable vedette » par JazzMag Les premières apparitions de Ray Charles à Paris, en octobre 1961, ont déjà été documentées sur Frémeaux & Associés, tout comme le premier concert à Newport en 1960. Au tour, cette fois, de ses tout premiers concerts en Europe. Ceux du festival d’Antibes-Juan-les-Pins en 1961 dont Ray Charles fut l’incontestable vedette, clôturant quatre des sept soirées. Ce sont ces quatre concerts qui sont restitués dans leur intégralité. Ce qui implique des redites d’une soirée à l’autre. Mais beaucoup moins que prévu. Face à quatre thèmes récurrents, l’inspiration du moment semble guider Ray Charles dans le choix du répertoire. Chaque concert présente de nouveaux titres alors que d’autres évoluent, même si le déroulé des prestations reste immuable : une séquence instrumentale avec l’octette, puis deux titres chantés en solo avant l’arrivée des Raelets, et le final sur « What’d I Say ». Loin de la routine à venir, Ray Charles s’investit autant au piano qu’au chant, il faut l’entendre crier le blues sur « I Wonder » ou se lâcher face à Margie Hendrix dans « Tell the Truth ». On peut aussi pleinement goûter son sens de la ballade dans « Ruby » et « Georgia », débarrassées des violonades des versions studio. La prise de son ne laisse rien échapper des apartés de Ray ou de ses râles d’approbation. Modeste, le maître d’œuvre annonce treize faces inédites, quand les autres ne sont connues que des complétistes, à travers une rare édition italienne et un DVD. Ultime gourmandise, quatorze « bonus tracks » présentent Ray Charles pianiste-accompagnateur, ainsi que deux prises Atlantic rares. Par Jacques PERIN – JAZZ MAGAZINE |
- « Un témoignage précieux » par Le Salon littéraire « Au firmament de ce qu’il est convenu d’appeler Great Black Music, ce courant majeur qui prend sa source dans le blues et le gospel avant d’être enrichi par le jazz, la soul, le funk et autres affluents, brillent encore quelques étoiles de première grandeur. Parmi elles, Ray Charles (1930-204). Surnommé The Genius dans son pays, les Etats-Unis, il acquit dans le monde entier une réputation méritée. Voix puissante et expressive, qualités d’instrumentiste, aptitude à choisir un répertoire et des accompagnateurs dignes de lui, tout aura contribué à faire du chanteur frappé de cécité dans sa prime jeunesse une manière de héros. Singulièrement en France, premier pays où il s’est produit sur le Vieux continent, grâce à Frank Ténot, producteur, avec Daniel Filipacchi, de l’émission de radio Pour ceux qui aiment le jazz. Les deux complices, qui firent tant pour la promotion et la diffusion de la musique américaine, non seulement s’attachèrent, dès 1958, à la promotion de ses disques, mais organisèrent ses premiers concerts parisiens en 1961. La même année, en juillet, Ray Charles fut la vedette incontestée du festival d’Antibes-Juan-les-Pins, qui en était à sa deuxième édition. Il y donna en effet quatre concerts dont l’intégralité, y compris des prises inédites et des bonus, nous est restituée dans un coffret de quatre disques accompagnés d’un livret signé Joël Dufour. Dans ce qui constitue un témoignage précieux, plusieurs centres d’intérêt retiennent l’attention. D’abord, la valeur d’un big band trop souvent passée inaperçue, éclipsée qu’elle était par la personnalité du leader. La formation comptait pourtant des solistes de valeur tels Philip Guilbeau (tp), Hank Crawford (as) ou David « Fathead » Newman (ts, fl), sans oublier Ray Charles lui-même. Il révèle en effet, outre les qualités vocales que l’on sait, d’incontestables talents de pianiste dont il use plus qu’il ne le fera par la suite. Second sujet de satisfaction, le renouvellement constant. Chaque concert n’est jamais identique au précédent, même si son déroulement et sa thématique sont semblables de soirée en soirée. Toujours l’inattendu arrive, tant chacun se livre sans retenue. Ainsi, qu’il chante le blues ou la ballade, dialogue avec les Raelets, décline à l’envi ses grands succès, Georgia on My Mind, What’d I Say ou Hallelujah I Love Her So, le leader s’investit sans restriction. Si bien que, ponctuées par une prise de son qui ne laisse rien perdre de ses réactions spontanées, ses interprétations apparaissent gorgées de sève. Une vie intense en émane, et une spontanéité que les ans gommeront quelque peu par la suite, comme il est naturel. D’où la valeur de ce témoignage où le jaillissement et l’émotion sont, pour ainsi dire, captés à la source. » Par Jacques ABOUCAYA – LE SALON LITTERAIRE |
- « On tient là un document historique exceptionnel » par ABS mag « Pour sa toute première tournée européenne en 1961, Ray Charles avait préféré la France et les organisateurs du festival de jazz d’Antibes/Juan-les Pins l’avait choisi pour la deuxième édition de ce festival, offrant même à Ray Charles la vedette de quatre des sept soirées. Des parties de ces quatre concerts ont été publiées en disques à l’époque, mais il restait des faces complètement inédites, treize en tout et cet opus, réalisé par Joël Dufour – un spécialiste reconnu du “Genius” – regroupe l’intégralité des quatre concerts, ce qui implique des doublons qui varient en longueur, en harmonies et en prises de solos par les musiciens de l’orchestre. En bonus : quatorze faces dont dix des années 50 (Tommy Ridgeley, Guitar Slim, Joe Turner et Ray Charles) et quatre de 1962 (Lula Reed) ont été généreusement ajoutées car c’est Ray Charles qui y tient le piano voire l’orgue. En 1961, Ray Charles a quitté Atlantic pour ABC-Paramount, ses big bands et ses ballades avec violons, mais il ambitionne encore de développer sa passion pour le jazz, le hard-bop et, pour sa visite en France, il a repris son octet de chez Atlantic (avec, entre autres, les saxophonistes David “Fathead” Newman, Hank Crawford…) et, bien sûr, ses Raelets (avec la fantastique soliste Margie Hendrix). Au total, il ne joue/chante que trois ballades : deux tubes ABC, Georgia On My Mind et Ruby et un inédit, With You On My Mind. Pour le reste, Ray Charles donne libre cours à sa passion pour un jazz dynamique, du hard bop proche du R&B (Doodlin’, Lil’ Darin’, The Story, Popo, …) et bien sûr du R&B du top niveau, souvent mâtiné de gospel, Night Time Is The Right Time, What’d I Say, Sticks And Stones, Let The Good Times Roll, Hallelujah I Love Her So,…. Y contribuent pour une large part les Raelets et une Margie Hendrix déchainée dont la voix donne des frissons dans The Right Time, My baby I Love Her Yes I Do, Tell The Truth et ailleurs. Pour ce qui est des bonus tracks, il y en a trois de Ray Charles lui-même, des faces gravées pour sa propre compagnie Tangerine, fondée en 1962, mais publiées par Atlantic : It Should’ve Been Me (New York, mai 1953) avec entre autres Mickey Baker (gt) ; Early in The Mornin’ (New York, octobre 1958) avec “Fat Head” Newman, Hank Crawford,…) et My Bonnie (Basel Radio, Zürich, octobre 1961). Il y a aussi des faces gravées à La Nouvelle-Orleans avec son ambiance festive caractéristique et avec Ray en accompagnateur : deux faces du chanteur Tommy Ridgeley pour Atlantic (août 1953 avec Edgard Blanchard, gt) et quatre du chanteur/guitariste Eddie “Guitar Slim” Jones (pour Specialty) dont le célébrissime The Things That I Used To Do. On y ajoute l’excellent Wee Baby Blues, une face de Big Joe Tuner avec Ray (New York, octobre 1957). Enfin il y a quatre faces de la chanteuse Lula Reed avec Ray, Wallace Davenport (tp),… (Los Angeles, août 1962) publiées à l’origine sous label Tangerine, parmi lesquelles les superbes Trouble In Mind et Ain’t That Love. On tient là un document historique exceptionnel doublé d’une garantie de bonheur d’écoute tout aussi exceptionnel, alors ne gâchez pas votre plaisir et procurez-vous ce coffret, toutes affaires cessantes. » Par Robert SACRE – ABS MAG |
- « Le leader et les Raelets se donnent à fond » par Libération « Ray Charles apparaît pour la première fois en France en octobre 1961, après le triomphe du festival de Newport. Sur tous les tempos, le leader et les Raelets se donnent à fond, fracassent le public d’Antibes-Juan-les-Pins. Chaque soir, les festivaliers ont droit à quelques nouveaux titres. L’orchestre devient - au premier passage à Antibes-Juan-les-Pins - la coqueluche de la Côte - cela en quatre concerts. Avant de conquérir l’Europe dans les jours qui suivent. Au matériel existant s’ajoutent la bagatelle de 13 inédits. Sans compter 14 raretés (Ray Charles pianiste accompagnateur). Et deux prises de la grande époque sur le label Atlantic. » Par Bruno PFEIFFER - LIBERATION |
- « Un travail remarquable ! » par Couleurs Jazz « Quand, pendant l’été 1961, Ray Charles franchit pour la première fois l’Atlantique pour se produire au festival d’Antibes-Juan-les Pins, il est déjà populaire auprès des amateurs français qui connaissent ses albums Atlantic et surtout ses deux hits, What’d I Say et Georgia on my mind, qui tournent dans toutes les surprise-parties. C’est aussi l’époque où le Genius tente de gagner les faveurs du public blanc en orientant sa production ABC-Paramount vers les ballades agrémentées de section de cordes. Dans ce contexte, la publication de l’intégralité des quatre concerts d’Antibes (13 titres inédits) prend tout son intérêt. En premier lieu, on entend Ray Charles avec son octette des années Atlantic. Résolument orienté vers le jazz, le répertoire varie chaque soir en excluant toute dérive commerciale. On y trouve deux belles versions de Georgia on my mind et de Ruby sans les violons présents dans les versions commerciales et des titres comme Doodlin’, Lil Darlin’, Let the Good Time Roll qui mettent en valeur Ray Charles, des solistes de grande classe, David Newman, Phillip Guilbeau, Hank Crawford, Leroy Cooper et les fameuses Raelets (The right time), tous libres de s’exprimer hors des contraintes du studio. Le tout servi par une bonne prise de son. Et puis, il y a les bonus précieux qui sont autant d’exemples du talent d’accompagnateur de Ray Charles, ici derrière Guitar Slim, Tommy Ridgley et la grande chanteuse Lula Reed dont les deux 45 tours Tangerine sont réédités dans cette sélection pour la première fois. D’importance aussi l’inclusion des prises alternatives de It should have been et Early in the morning, parues en singles à l’époque et absentes du coffret « The Complete Atlantic Recordings box » publié par Rhino. Un livret remarquable de Joël Dufour, le spécialiste incontesté de Ray Charles et maître d’œuvre de cette précieuse réalisation, ajoute encore à l’intérêt de ces enregistrements. Un travail remarquable ! » Par Alain TOMAS – COULEURS JAZZ |
CD | Piste | Titre | Artiste principal | Auteur | Durée | Enregistré en |
1 | 1 | Spoken introductions by andré francis and joe adams | Ray Charles | 00:02:59 | 1961 | |
1 | 2 | Doodlin' | Ray Charles | 00:07:24 | 1961 | |
1 | 3 | The story | Ray Charles | 00:04:55 | 1961 | |
1 | 4 | Lil darlin' | Ray Charles | 00:08:27 | 1961 | |
1 | 5 | One mint julep | Ray Charles | 00:03:16 | 1961 | |
1 | 6 | Let the good times roll | Ray Charles | 00:02:41 | 1961 | |
1 | 7 | Georgia on my mind | Ray Charles | 00:05:21 | 1961 | |
1 | 8 | My bonnie | Ray Charles | 00:03:59 | 1961 | |
1 | 9 | (night time is) the right time | Ray Charles | 00:04:13 | 1961 | |
1 | 10 | Sticks and stones | Ray Charles | 00:03:51 | 1961 | |
1 | 11 | Hallelujah i love her so | Ray Charles | 00:03:06 | 1961 | |
1 | 12 | What'd i say | Ray Charles | 00:05:46 | 1961 | |
1 | 13 | Ooh lawdy my baby | Ray Charles, Tommy Ridgley | 00:02:44 | 1953 | |
1 | 14 | I'm gonna cross that river | Ray Charles, Tommy Ridgley | 00:02:56 | 1953 | |
1 | 15 | The things that i used to do | Ray Charles, Guitar Slim | 00:03:01 | 1953 | |
1 | 16 | Well i done got over it | Ray Charles, Guitar Slim | 00:02:27 | 1953 | |
1 | 17 | The story of my life | Ray Charles, Guitar Slim | 00:03:00 | 1953 | |
1 | 18 | A letter to my girlfriend | Ray Charles, Guitar Slim | 00:02:10 | 1953 | |
2 | 1 | Spoken introductions by andré francis and joe adams 2 | Ray Charles | 00:02:41 | 1961 | |
2 | 2 | The story 2 | Ray Charles | 00:04:49 | 1961 | |
2 | 3 | In a little spanish town | Ray Charles | 00:04:11 | 1961 | |
2 | 4 | Lil' darlin 2 | Ray Charles | 00:06:58 | 1961 | |
2 | 5 | Popo | Ray Charles | 00:04:17 | 1961 | |
2 | 6 | Let the good times roll 2 | Ray Charles | 00:02:43 | 1961 | |
2 | 7 | Georgia on my mind 2 | Ray Charles | 00:04:55 | 1961 | |
2 | 8 | Sticks and stones 3 | Ray Charles | 00:03:49 | 1961 | |
2 | 9 | My baby (i love her yes i do) | Ray Charles | 00:04:07 | 1961 | |
2 | 10 | Yes indeed | Ray Charles | 00:02:39 | 1961 | |
2 | 11 | I believe to my soul | Ray Charles | 00:03:32 | 1961 | |
2 | 12 | What'd i say 2 | Ray Charles | 00:05:30 | 1961 | |
2 | 13 | It should've been me | Ray Charles | 00:02:39 | 1953 | |
2 | 14 | Early in the mornin' | Ray Charles | 00:02:47 | 1958 | |
2 | 15 | My bonnie 2 | Ray Charles | 00:03:46 | 1961 | |
3 | 1 | Spoken introduction by joe adams | Ray Charles | 00:01:23 | 1961 | |
3 | 2 | Popo 2 | Ray Charles | 00:03:55 | 1961 | |
3 | 3 | Lil darlin' 3 | Ray Charles | 00:08:06 | 1961 | |
3 | 4 | Let the good times roll 3 | Ray Charles | 00:02:41 | 1961 | |
3 | 5 | Ruby | Ray Charles | 00:06:15 | 1961 | |
3 | 6 | My bonnie 3 | Ray Charles | 00:03:25 | 1961 | |
3 | 7 | With you on my mind | Ray Charles | 00:04:48 | 1961 | |
3 | 8 | Sticks and stones 4 | Ray Charles | 00:03:25 | 1961 | |
3 | 9 | I wonder | Ray Charles | 00:03:21 | 1961 | |
3 | 10 | What'd i say 3 | Ray Charles | 00:05:03 | 1961 | |
3 | 11 | Wee baby blues | Ray Charles, Joe Turner | 00:02:18 | 1957 | |
4 | 1 | Spoken introductions by andré francis and joe adams 3 | Ray Charles | 00:02:19 | 1961 | |
4 | 2 | Popo 3 | Ray Charles | 00:04:15 | 1961 | |
4 | 3 | Lil darlin' 4 | Ray Charles | 00:07:44 | 1961 | |
4 | 4 | Hornful soul | Ray Charles | 00:05:14 | 1961 | |
4 | 5 | Let the good times roll 4 | Ray Charles | 00:02:54 | 1961 | |
4 | 6 | Georgia on my mind 3 | Ray Charles | 00:05:11 | 1961 | |
4 | 7 | My bonnie 4 | Ray Charles | 00:03:35 | 1961 | |
4 | 8 | With you on my mind 2 | Ray Charles | 00:05:02 | 1961 | |
4 | 9 | Tell the truth | Ray Charles | 00:03:43 | 1961 | |
4 | 10 | I wonder 2 | Ray Charles | 00:03:39 | 1961 | |
4 | 11 | Sticks and stones 2 | Ray Charles | 00:03:14 | 1961 | |
4 | 12 | I believe to my soul 2 | Ray Charles | 00:03:59 | 1961 | |
4 | 13 | What'd i say 4 | Ray Charles | 00:05:23 | 1961 | |
4 | 14 | Trouble in in mind | Ray Charles, Lula Reed | 00:03:01 | 1962 | |
4 | 15 | Ain't that love | Ray Charles, Lula Reed | 00:02:49 | 1962 | |
4 | 16 | Just keep it up | Ray Charles, Lula Reed | 00:01:57 | 1962 | |
4 | 17 | There he goes | Ray Charles, Lula Reed | 00:03:11 | 1962 |
Caractéristiques
- Déficience visuelle :
- Déficient visuel léger (Entre P2 et P4 ou acuité sup. ou égal à 4/10ème)
Malvoyant léger (Entre P5 et P8 ou acuité entre 3 et 2/10 ème)
Non-Voyant (inf. à 1/20ème) - Simple d'utilisation :
- Oui
- Catégorie de produit :
- Livres audio
- Parlant :
- Oui
- Langue :
- Français
- Genre littéraire :
- CD musical
- Nombre de CD :
- 4
- Coup de coeur
- Oui